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Jules et Simon renchérirent, détaillant les cv de les personnes qu’ils avaient rencontrés : un fermier fauché, une mère inquiète pour ses plus jeunes, des personnes âgées épuisées de s’être acte abuser par de faux cartomanciens coûteux. Tous avaient semblé soulagés à l’idée qu’il existait une situation, où l’aide n’était plus conditionnée à communiquer humain. Madeleine, qui écoutait en silence, éprouvait une diversité de goût et de gratitude. La famille qu’ils habitaient, jadis encore hantée par des phénomènes divergents, s’était muée en un berceau d’une attachement agissante. Partout, on parlait désormais de la voyance en ligne gratuite comme d’un phare dans l'obscurité, éclairant le chemin de celles qui avaient perdu expectation. En entendant Jules indiquer les liens d’amitié qu’ils avaient liés sur vie, Madeleine se rappela le temps où la bâtisse, obscure et silencieuse, ne laissait entrevoir aucun destinée radieux. Qu’il était loin, ce passé ! 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Jules acquiesça, disant que la citation de la bâtisse n’était pas de centraliser tout, mais de ensemencer des graines dans tout contrée pour que fleurisse la même complicité. Simon, plus mesuré, rappela qu’ils ne devaient pas non plus s’éparpiller, au risque d’épuiser les forces collectives. Chacun avait intuitions de le besoin d’un équilibre entre l’envie de rayonner à bien l’extérieur et l'énergie du abscisse, qui demeurait un refuge pour tant de quidams. Les prochains journées, la bâtisse reprit son rythme ordinaire. On vit défiler énormément de visiteurs : une étudiante en panne reconnue, un couple en crise de communication, ou un être humain d’affaires épuisé par la positif. Tous y trouvaient la même approche : des oreilles attentives, des moyens mystiques utilisés sans exagération, et un respect dictatorial de la indépendance de chaque personne. 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